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Pour les yogis, l'insomnie… c'est fini…

 

 

Faut-il se coucher comme les poules pour dormir comme une marmotte ?

Pour un français sur cinq, le temps de la chanson douce est révolu depuis bien longtemps : difficultés à s’endormir, sommeil trop léger, phobies nocturnes, etc. Face aux troubles du sommeil, le marchand de sable se trouve souvent impuissant et pourtant il ne cesse de remplir sa besace : tisanes, somnifères, berceuses, bouquins en tout genre et surtout beaucoup d’histoires…à dormir debout ! 

Dormir : rêve ou réalité ?

Si pour l’insomniaque une bonne nuit relève de la chimère, il faut savoir qu’il n’y a rien de plus naturel et mécanique que le sommeil.

Dormir est une fonction vitale pour l’organisme au même titre que respirer, manger ou boire.

Cyclique de nature, le sommeil nous impose des phases qui se répètent 3 à 5 fois par nuit : léger, profond, paradoxal, léger, profond, paradoxal… avec des variantes de tempo bien cadencées : plus la nuit s’avance et plus le sommeil paradoxal s’étale, au détriment des deux autres…  Autant dire que ceux qui n’ont pas le sens du rythme rejoindront un jour ou l’autre le clan des papillons de nuit !

Le sommeil : un archiviste minutieux

Notre organisme est une véritable bibliothèque dont l’employé le plus fidèle se nomme Morphée.

Chaque nuit, le sommeil commence par photocopier tous les événements survenus dans la journée. N’avez-vous d’ailleurs jamais observé un bébé qui dort ? Vous pensez qu’il rêve en vous attendrissant sur ses sourires en coin…Et bien pas du tout ! Le boud’chou se moque de vous : il reproduit basiquement les mimiques des proches qui se sont penchés sur son berceau tout le jour… et en effet le résultat est loin d’être soporiphique!

Après avoir recueilli toute la matière première, le sommeil entame un travail de fourmi : il assimile, stocke, trie, organise et range toutes les données, aussi bien sensorielles, liquides que solides. Résultat : on renaît chaque matin enrichi des nourritures de la veille, les idées claires, beaucoup plus concentré et attentif au monde qui nous entoure. Ne dit-on pas que la nuit porte conseil ?

« Là où loge le souci, le sommeil ne s’abat jamais », W. Shakespeare

Pourtant, les cas de grève du sommeil se répètent, au grand désarroi des syndiqués de la bibliothèque. D’après leurs statistiques il n’est pas sérieux d’incriminer le café ou le jus d’orange ingurgités juste avant d’aller se coucher. Les principaux responsables mis en cause sont les problèmes d’ordre psychologique. Stress, contrariétés, surmenages, chocs émotionnels, ponctuels ou chroniques, sont autant d’éléments perturbateurs qui vous empêchent de dormir sur vos deux oreilles. Ils stoppent le renouvellement des cycles et les rouages s’inversent : le sommeil paradoxal devient de plus en plus court, jusqu’à disparaître complètement. Bonjour les maux de tête, les idées noires, les sautes d’humeur… Vous tomberez peut-être de sommeil…mais le jour… et là, vous êtes dans de beaux draps !

Retrouver un sommeil de plomb…

« Tout ce qui rentre fait ventre » ! Voici un adage à user sans modération. Accepter sans aucune résistance et avec recul les événements de la vie, qu’ils soient perçus comme positifs ou négatifs, vous permettra d’aller vous coucher serein et de rendre à la nuit ce qu’elle a de plus précieux : le sommeil.

Les techniques d’oxygénation proposées par la Méthode FDY équilibrent physique et psychique, vous aidant ainsi à relativiser les expériences de la journée et à vider votre corbeille mentale avant le coucher.

Davantage à l’écoute de vous-même,  vous aurez tout loisir de remettre vos pendules à l’heure de votre horloge interne!

Santé